L’epoque est à la diversité

De l’arrivée de juin ,on profite de la richesse qui se desinne.C’est le temps des sulfures et leur émergence qui ont l’art de rendre fou des poissons qui ont appris à se méfier de pale imitation.

C’est  aussi  l’époque des grandes rouges. L’occasion pour moi de mettre à l’honneur un produit de la boutique de Vincent : les dubbings de la marque pêche à soie.

Découverte produit : Dubbings laineux chez fly concept : http://www.fly-concept.fr/categorie-produit/fil-dubbing/

Une  gamme de couleur qui nous permet de répondre notamment à nos attentes lorsqu’il s’agit d’imiter les grands éphémères comme ce rouge lie de vin dont la couleur est juste parfaite.

Des dubbings prétexte à vous proposer un petit montage très rustique qui marche très bien sur nos rivières et notamment la Sioule.

C’est aussi le moment de diversifier ces approches .Comme un constat qui m’apparait de plus en plus pertinent ou l’avènement des nouvelles façons de pratiquer conduit bon nombre de pêcheur a refusé les défis de quelques désagréments.

Il suffit d’une Sioule dépassant les 20m3 pour ne plus voir âme qui vivent sur la riviere.Démonstation peut être que derrière la maitrise de quelques techniques se cache une profonde incapacité d’adaptation.

Pourtant que la vie est belle lorsque les grands lisses commencent à tirer suffisamment pour permettre une pêche en noyée de qualité.

C’est alors que viennent  les heures en spey.Les arabesques, les tapes qui se font lourde, la douceur d’un museau que l’on devine happer la sauteuse en surface.

Comme une évidence à devoir une fois encore mettre l’accent sur les précieux conseils que j’avais reçu en début d’année de la boutique PLC-pêche .Merci de cette disponibilité rare qui m’offre en ce début de saison 2018 , la bonheur d’une approche que je n’avais pas encore appréhender.La perfection d’un ensemble trés confortable associant une canne redington trout spey et une soie rio single hand spey.

Découverte produit : http://www.plc-peche.fr/canne-a-mouche-redington-hydrogen-trout-spey-11-3-soie-3.html

Eloge à l’envie de faire les choses autrement .Ainsi pourrais-je résumer ce cours passage sur la Dordogne ou je retrouve Mickael pour une descente en canoé.

Faire un Road trip sur la Dordogne à la mouche : https://www.guide-pêche-46.com/road-trip-sur-la-dordogne-nouveaut%C3%A9/

Rare sont les guides de pêche à proposer cette manière de lire et de parcourir la majestueuse riviere.Grace à une parfaite connaissance de chaque pool, il vous invitera à la rencontre de secteur encore tranquille de la pression importante de pêcheur.

Pour terminer ces lignes ,je profite de vous faire un retour  sur les chaussures Andrews que je porte depuis de début de la saison.

Découverte produit  : les chaussures andrew  :https://www.river-shoes.com/

Après plus d’une 30aine de sortie que ce soit au milieu des rochers coupant de la dore, sur les zones glissantes de la Sioule ou en progressant dans les veines puissantes de la Dordogne, le constat principale est la securité.Des chaussures lourdes qui sont de véritable engins tout terrain, voilà de quoi rendre jaloux les marques les plus prestigieuses.Le seul point de reflexion sera une usure légère qui se desinne au niveau des semelles.Comme une invitation probable à devoir changer les feutres bien avant que les chaussures n’est rendu l’ame.

Ainsi se poursuit une saison d’une richesse incroyable auxquelles les gouttes pluie et les orages très abondant m’empêche de vous amener dans les recoins les plus reculés de notre auvergne. Mais tout cela n’est que partie-remise.

En mode thymallus

L’arrivée de la mi- mai me conduit à retrouver un partenaire pour lequel je voue une affection sans limite.

De sieur communs je profite enchainant de bien belle rencontre. Chance qui est la mienne d’habiter une région ou sa traque me conduira tranquillement jusqu’à 31 décembre..

Pour l’heure nous entrons dans les moments les plus intenses.

De nature, les grandes March Brown ont laissé place aux rouges des ecdyos.Sur l’eau le manège des sedges commencent à nous offrir l’opportunité de belle pèche en sêche.La sioule s’ouvre enfin aux heures fastes de la pêche à la mouche.Le temps des celebres coup du soir approchent.

Petit à petit je troque une pêche all Hilo pour retrouver de la soie .Recherche permanente d’une polyvalence ou il faut alterner en quelques secondes.

Passage tranquille en mode bourricot ou je fais le pari souvent de trainer deux cannes. Des choix stratégiques différents auxquelles j’aimerai consacrer  quelques vidéos pour répondre aux questions des plus débutants.

Projet d’avenir que devrait apporter des images pour densifier le contenu d’auvergne passion mouche. Projet surtout pour tenter de montrer que nul secret en matiere de pêche n’est plus important que la pratique ,  encore et toujours.Projet aussi qui devrait un jour je l’espere me conduire avec mes amis du club à proposer la mise en place de stage de decouverte et de perfectionnement,mais cela est une autre histoire .

Ainsi pour l’heure je ne ferai que vous inviter à 28secondes d’un template go pro en mode thymallus.

Un mouche pour la pêche de l’ombre : L’arathyma

De ce weekend  de la pentecôte, c’est bien à maitre thymallus qu’iront mes pensées.

De la foule qui se  presse à la pêche en ces jours d’ouverture ; comme à mon habitude je laisse ma place pour parfaire quelques montages indispensables aux semaines qui arrivent.

Au cœur de l’auvergne, nul doute que ce joyau fait partie des plus beaux. D’allier, de Loire, de Dore, de Sioule ,de Santoire et de bien d’autres encore, chaque pêcheur peut avoir la chance de croiser un grand étendard

Ainsi c’est une nouvelle saison qui débute, celle de la traque de l’ombre, celle qui m’occupera jusqu’à mois de décembre.

Fantasque, amusant, perturbant, il est l’un des rares à nous pousser à la fantaisie une fois à l’étau .

Naissance d’une mouche , l’arathyma qui se veut être aux antipodes des couleurs habituelles.

Toute de Bronze vêtue

L’époque est à la  couleur.

De mai, du printemps qui s’installe, la nature s’en fait sienne et décline à profusion d’innombrables nuances.

D’un éclat bleuté d’une valériane à la majestueuse marguerite qui inonde la prairie de sa splendeur, j’aime ce moment de l’année ou mon regard ne sait pas où se poser

Pourtant au fil des saisons de pratique sur  ma rivière de cœur j’ai compris que croiser une truite approchant les 50 cm reste un instant rare pour le pêcheur à la mouche. Il nous faut chercher, scruter, s’adapter à chaque situation.

De cette période de l’année chaque poisson semble s’amuser de notre patience, demandant en permanence à modifier les strategies.D’un gobages le long d’une bordure que l’on choisira de séduire à l’aide d’une imitation d’ignita à un simple recoin entre deux rochers dont on sait qu’il abrite un joyau à la couleur de bronze.

Une fois encore je goutte le bonheur de belle rencontre….

L’occasion pour conclure de vous inviter à relire un vieil article du blog : http://auvergnepassionmouche.fr/elle-revait-detre-une-50/

Le temps des March Brown

 

 

De saint Mamert, saint Pancrace et saint Servais, il est une autre forme que celle de glace.

 

Ces dernières heures, le ciel nous joue quelques tours amenant des pluies denses qui ont fait gonflées les rivières du coin.

Sioule n’échappe pas à  ce constat .Après plusieurs jours à 5 m 3 qui apporte son lot de bandeau et de foule, ce sont des niveaux plus haut, plus fort auquel  bon nombre de moucheurs se refusent.

Des changements de condition qui pousse la vie à se faire plus présente.

March Brown et les autres ne suffisent  pourtant pas à faire monter les poissons en surface. Mais ce regain d’activité amène  les truites à se nourrir malgré tout.

C’est l’occasion avec Vincent de faire quelques réglages, d’adapter les techniques volées sur les bords de la madison pour les faire notre sur la Sioule. Une philosophie  profonde à toujours chercher diffèrent de nos voisins .Le sentiment aussi que les poissons ont appris à se lasser de ces nymphes qui passent sous la canne.

Ainsi pendant que perdigon  roule et roule encore, nous choisissons d’autres options comme la noyée aval avec une canne switch pour retrouver la beauté d’un geste  ou la pêche up Stream à l’aide d’un air lock Strike indicator dont je suis surpris de l’efficacité sur nos rivières ou les poissons sont prétendu très méfiant.

Petit à petit la saison s’installe donc….

Quelques news en vrac (9/05/2018)

L’heure est aux nouvelles

Peut-être passer inaperçu pour certains, depuis quelques jours maintenant le nouveau site internet de la fédération de pêche du puy de dôme est en ligne.

Le site internet de la fédération de pêche du Puy de Dôme :https://www.peche63.com/

 

Une nouvelle interface plus agréable à lire, un site responsive offrant la possibilité de visualiser directement sur cartographie les parcours de pêche. Une réponse de qualité pour répondre à bien des questions des pratiquants.

Modernisation du support qui permet de mettre en valeur le travail de la fédération.Modernisation qui s’exprime aussi par la présence de nos instances sur les médias sociaux comme Facebook ou Instagram.

Instantanée d’une époque qui nous permet par exemple d’apprendre l’introduction de 10 000 ombrets d’un an sur la portion amont de l’Allier.Une politique halieutique indispensable à mon sens.

Je profiterai d’ailleurs de l’instant pour rappeler que l’ouverture de l’ombre s’approche et que notre Auvergne offre d’innombrables possibilitées d’aller à la rencontre de ce poisson exceptionnel

C’est aussi le retour sur le marché de la collection des mouches de la Sioule. Olives, nymphes, March Brown. De quoi parfaire ces boites de mouches avec des modeles efficaces et simples.

Opportunité de parcourrir en profondeur le Fly shop de Vincent : Fly concept. Une gamme très étoffé et quasiment complete  dont le succès ne fait guère de doute .Volonté de développer grâce une gamme aux prix très attractifs que je vous  inviterai à découvrir durant les mois à venir notamment autour de la pêche en réservoir.

Découvrir Fly Concept : http://www.fly-concept.fr/

Parmi les autres informations, il est à signaler que notre Auvergne et plus précisément la Haute Loire sera le théâtre de la prochaine édition du Tournoi des 5 Nations. Événement notamment sur le magnifique site du lac du Bouchet qui permettra d’admirer en action des pêcheurs de grande dextérité.

Moyen aussi de montrer une fois encore le dynamisme de certaines personnes de ce département  qui apporte je le crois beaucoup à la pêche à la mouche.Véritable moteur du maintient de l’attractivité de la Haute Loire  et force motrice essentiel face à l’érosion des pratiquants.Ce sont ces porteurs de projet qui devrait être mis en valeur et soutenu à travers les politiques de communication de nos instances ( en mode billet d’humeur!!!)

Enfin pour conclure , je vous invite à parcourir ma chaine youtube qui devrait se redynamiser avec l’arrivée de nouveau jouet comme la go pro hero6 .Le but d’Auvergne passion mouche etant avant tout autre chose le plaisir des photos et des images.

Ma chaine Youtube :c’est ici

De l’autre coté du miroir

D’un sentiment rassurant qui nous persuade que jusque-là tout va bien, je dois avouer qu’en matière de rivière, je me suis toujours astreint à consacrer du temps à comprendre la réalité plutôt que d’essayer de la modifier.

De Sioule, je commence aujourd’hui après plus de 35 ans de pêche à la mouche, à détenir modestement je le crois une connaissance capable de mesurer le moindre changement d’une rivière pour lequel je consacre tant et tant d’heure de pêche.

De mai il est pour tradition que la belle des Combrailles nous offre le plus beau des visages. D’un éphémère qui parcourt le ciel, m’invitant à la contemplation, j’admire la précarité d’un instant.

Pourtant il est  une tâche qui perdure depuis maintenant des semaines. La vision constante des stigmates de quelques mal intentionnés dont il suffit de suivre la trace pour comprendre qu’il y a un profond problème sur la manière dont s’exprime la pêche sur cette riviere.Pas une sortie sans apercevoir quelques cadavres.

Ainsi pourrait-il être si simple de se dédouaner de quelques responsabilités  s’offrant la pertinence du bon droit , de la bonne conscience .Ainsi pourrait-on se satisfaire de ces nombreux panneaux , achevant un cycle vertueux.

Combien d’acteurs engagés me diront que je suis probablement trop exigeant et que le simple fait d’avoir diminué les quotas, augmenter les tailles devrait m’apaiser. Combien je devrais mesurer la chance qui est la mienne d’avoir avec d’autre participer à l’avènement d’une philosophie aussi respectueuse.

Comme une réponse aussi simple à tous les maux.

Comme le reflet d’un miroir dont on oublie de regarder l’éclat.

La Sioule inquiète, rongée je le crois par un mal discret.

Celui d’une époque révolue où éduquer passé  par la capacité  à dire « non ».Combien en écrivant ces mots je ne peux m’empêcher de regretter la véhémence et l’engagement d’un pseudo connu des  plus anciens Les Meritis63 qui a chaque dérive était là pour recadrer les choses.

Combien alors nous n’aurions pas vu  rester sans réaction quelques vantardises d’ombre pris en pleine période de fermeture. Pauvre thymallus dont on s’étonne la faiblesse de la population alors que celui-ci est matraqué à longueur de journée par des pêcheurs sur les frayères.

Combien alors nous n’aurions pas assisté aux scènes quasi constante ou chaque éclusé d’EDF sert de défouloir à quelques-uns pour accabler les hommes que plus personne ne défend.

Combien probablement n’aurions pas vendu la rivière à quelques ambitions mercantiles venus d’ailleurs ou il devient de plus en plus difficile pour le simple pêcheur du coin de trouver un espace .Destin funeste d’une cause ou le commerce a pris la possession des territoires sans jamais leur reverser la part qu’il leur a dû.

Le temps des militants est passé et avec eux peut être l’avenir d’une pêche accessible à tous.

Pourtant de l’autre côté du miroir, il est un univers diffèrent

Celui d’une rivière  imparfaite, fragile. D’un théâtre qui donne de la place aux poètes, aux amoureux. A ces épicuriens qui s’éloignent chaque jour un peu plus d’un univers ou le vivant n’est plus qu’un produit parmi tant d’autre. Un  moyen de briller, d’exister à grand coup de hashtag.

C’est à eux que je pense, à eux que je dédie les images qui suivent .A eux  pour qui je consacre parfois quelques heures de ma vie à essayer de ralentir un présent dont je comprends chaque jour un peu plus qu’il me faut profiter, de peur probablement que tout cela ne soit que le reflet de ce miroir qui me hante.

 

 

Entre Lozere et Aveyron

Des innombrables vallées que je parcours tout au long de l’année, il en est  pour lequel je voue une admiration particulière.

Entre Lozère et Aveyron, de Lot, de Tarn, de Dourbie, de Jonte, autant de paysage, d’atmosphère  que j’aime parcourir canne à mouche en main.

Si pour certains ce weekend end fut l’occasion de palabres probablement  inutiles, il fut pour moi avec quelques amis d’auvergne passion mouche l’occasion d’un grand bol d’air. Opportunité aussi de réaliser les premières images avec la go pro hero 6.De quoi apporter un petit plus au blog , du moins je l’espere.

Des heures de pêche ou l’on a  eu la chance de vivre  une fois encore la frénésie de poisson qui entre deux périodes d’eaux hautes avaient choisi de se saisir de la moindre mouche passant à leur portée. Des nymphes qu’il fallait conduire à la bonne profondeur. Des montages simples à l’image d’une de mes classiques à bille blanche montée à partir d’un dubbing de lièvre pour donner de la vie.Indispensable lorsque les poissons sont encore un peu léthargiques.

Une pêche sous la canne, lente, dans les eaux bleutées d’une fraicheur qui reste perceptible sur les berges, signe d’un printemps qui s’installe de la manière la plus incertaine qui soit.

Premier prétexte aussi à fuir la foule en bon solitaire que je suis.

Loin, très loin de cette culture actuelle qui pousse au rendez-vous incontournable ou l’unique but serait d’être présent pour se montrer en bon « m’as-tu vu », étalant dans chaque conversation cette aspiration Rocco sifredienne de se prétendre expert de la gaule.

Ainsi sifflotant  un air de manu chao dans la tête, une petit nymphe à bout d’un trout hunter , me voici là au cœur d’une vallée encaissée, surprenant de mon insolence quelques vautours fauves qui me guettent

D’une vie social pleine de rebondissement, j’ai préféré les temps de quelques heures assouvir cette perception qui est la mienne de la pêche.

Des paysages,de l’eau, des poissons, et surtout être peinard

Lecture d’Avril : 8.6,Pêche Mouche,Petit Jean

Entre deux parties de pêche,  comme une pause salvatrice, je profite de l’arrivée du printemps et de la chaleur d’une après-midi pour m’adonner à quelques lectures.

Comme à chaque fois l’annonce d’une nouveauté attire mon regard. Depuis quelques semaines le premier numéro du magazine 8.6 a pris le relai de « Pêches sportives ».

Un magazine plus dense qui nous invite au fil de 146 pages à la rencontre d’univers très diffèrents.

De la maitrise du no kill en pêchant aux leurres, aux boites à mouches idéales  pour parcourir l’Ain , l’Aude et bien d’autres contrées , c’est un contenu riche qui nous donne l’envie de lire avec enthousiasme un numéro 1 dont l’unique petit point noir résidera  peut-être dans son prix  .

18€ pour un tri mensuel  même de très grande facture reste à mon avis une cout très important et beaucoup je le crois prendront le temps de feuilleter chez leur buraliste chaque parution avant de craquer pour ces belles pages.

L’arrivée de mai signe aussi la parution du numéro 126 de la revue « Pêche Mouche ». Fidèle parmi les fidèles, c’est avec impatience que je parcours ce numéro.

Comme à son habitude , nous aurons plaisir à partager les conseils des différents auteurs à travers des sujets aussi vastes que la traque de gros spécimens en sêche à l’invitation qui nous est faite d’aller voir ce qui se passe en Islande.

Pour ma part en bon régional je ne résisterai pas à une lecture plus attentive d’un article de J.B Nuremberg sur les ombres de l’Alagnon. Comme une mise en appétit pour aller à la rencontre de la plus auvergnates de nos rivières, l’Alagnon traversant successivement le cantal, la haute Loire et le puy de dôme.

Continuant cet intermède culturel, il me faut maintenant aborder un coup de cœur : Le livre de Marc Petit Jean.

Un ouvrage référence qui invite les amoureux du cul de canard à la rencontre des célèbres montages que sont les MP 10,22, 81 et tous les autres. Des step by step détaillés au maximum qui nous offre une parfaite maitrise de  ce matériel .L’auteur nous invitant aussi au fil des pages à la rencontre de l’histoire du CDC dans le monde la mouche.

Difficile de résumer en quelques lignes la beauté de ce livre, si ce n’est de prétendre qu’il est un des vrais indispensables dans toute belle bibliothèque de passionné de pêche à la mouche.

Ainsi pour conclure ce propos je vous laisserai comme une mise en bouche une vidéo de Marc Petit Jean ou il nous dévoile ses 8 mouches qui suffisent