Quelques news en vrac (9/05/2018)

L’heure est aux nouvelles

Peut-être passer inaperçu pour certains, depuis quelques jours maintenant le nouveau site internet de la fédération de pêche du puy de dôme est en ligne.

Le site internet de la fédération de pêche du Puy de Dôme :https://www.peche63.com/

 

Une nouvelle interface plus agréable à lire, un site responsive offrant la possibilité de visualiser directement sur cartographie les parcours de pêche. Une réponse de qualité pour répondre à bien des questions des pratiquants.

Modernisation du support qui permet de mettre en valeur le travail de la fédération.Modernisation qui s’exprime aussi par la présence de nos instances sur les médias sociaux comme Facebook ou Instagram.

Instantanée d’une époque qui nous permet par exemple d’apprendre l’introduction de 10 000 ombrets d’un an sur la portion amont de l’Allier.Une politique halieutique indispensable à mon sens.

Je profiterai d’ailleurs de l’instant pour rappeler que l’ouverture de l’ombre s’approche et que notre Auvergne offre d’innombrables possibilitées d’aller à la rencontre de ce poisson exceptionnel

C’est aussi le retour sur le marché de la collection des mouches de la Sioule. Olives, nymphes, March Brown. De quoi parfaire ces boites de mouches avec des modeles efficaces et simples.

Opportunité de parcourrir en profondeur le Fly shop de Vincent : Fly concept. Une gamme très étoffé et quasiment complete  dont le succès ne fait guère de doute .Volonté de développer grâce une gamme aux prix très attractifs que je vous  inviterai à découvrir durant les mois à venir notamment autour de la pêche en réservoir.

Découvrir Fly Concept : http://www.fly-concept.fr/

Parmi les autres informations, il est à signaler que notre Auvergne et plus précisément la Haute Loire sera le théâtre de la prochaine édition du Tournoi des 5 Nations. Événement notamment sur le magnifique site du lac du Bouchet qui permettra d’admirer en action des pêcheurs de grande dextérité.

Moyen aussi de montrer une fois encore le dynamisme de certaines personnes de ce département  qui apporte je le crois beaucoup à la pêche à la mouche.Véritable moteur du maintient de l’attractivité de la Haute Loire  et force motrice essentiel face à l’érosion des pratiquants.Ce sont ces porteurs de projet qui devrait être mis en valeur et soutenu à travers les politiques de communication de nos instances ( en mode billet d’humeur!!!)

Enfin pour conclure , je vous invite à parcourir ma chaine youtube qui devrait se redynamiser avec l’arrivée de nouveau jouet comme la go pro hero6 .Le but d’Auvergne passion mouche etant avant tout autre chose le plaisir des photos et des images.

Ma chaine Youtube :c’est ici

De l’autre coté du miroir

D’un sentiment rassurant qui nous persuade que jusque-là tout va bien, je dois avouer qu’en matière de rivière, je me suis toujours astreint à consacrer du temps à comprendre la réalité plutôt que d’essayer de la modifier.

De Sioule, je commence aujourd’hui après plus de 35 ans de pêche à la mouche, à détenir modestement je le crois une connaissance capable de mesurer le moindre changement d’une rivière pour lequel je consacre tant et tant d’heure de pêche.

De mai il est pour tradition que la belle des Combrailles nous offre le plus beau des visages. D’un éphémère qui parcourt le ciel, m’invitant à la contemplation, j’admire la précarité d’un instant.

Pourtant il est  une tâche qui perdure depuis maintenant des semaines. La vision constante des stigmates de quelques mal intentionnés dont il suffit de suivre la trace pour comprendre qu’il y a un profond problème sur la manière dont s’exprime la pêche sur cette riviere.Pas une sortie sans apercevoir quelques cadavres.

Ainsi pourrait-il être si simple de se dédouaner de quelques responsabilités  s’offrant la pertinence du bon droit , de la bonne conscience .Ainsi pourrait-on se satisfaire de ces nombreux panneaux , achevant un cycle vertueux.

Combien d’acteurs engagés me diront que je suis probablement trop exigeant et que le simple fait d’avoir diminué les quotas, augmenter les tailles devrait m’apaiser. Combien je devrais mesurer la chance qui est la mienne d’avoir avec d’autre participer à l’avènement d’une philosophie aussi respectueuse.

Comme une réponse aussi simple à tous les maux.

Comme le reflet d’un miroir dont on oublie de regarder l’éclat.

La Sioule inquiète, rongée je le crois par un mal discret.

Celui d’une époque révolue où éduquer passé  par la capacité  à dire « non ».Combien en écrivant ces mots je ne peux m’empêcher de regretter la véhémence et l’engagement d’un pseudo connu des  plus anciens Les Meritis63 qui a chaque dérive était là pour recadrer les choses.

Combien alors nous n’aurions pas vu  rester sans réaction quelques vantardises d’ombre pris en pleine période de fermeture. Pauvre thymallus dont on s’étonne la faiblesse de la population alors que celui-ci est matraqué à longueur de journée par des pêcheurs sur les frayères.

Combien alors nous n’aurions pas assisté aux scènes quasi constante ou chaque éclusé d’EDF sert de défouloir à quelques-uns pour accabler les hommes que plus personne ne défend.

Combien probablement n’aurions pas vendu la rivière à quelques ambitions mercantiles venus d’ailleurs ou il devient de plus en plus difficile pour le simple pêcheur du coin de trouver un espace .Destin funeste d’une cause ou le commerce a pris la possession des territoires sans jamais leur reverser la part qu’il leur a dû.

Le temps des militants est passé et avec eux peut être l’avenir d’une pêche accessible à tous.

Pourtant de l’autre côté du miroir, il est un univers diffèrent

Celui d’une rivière  imparfaite, fragile. D’un théâtre qui donne de la place aux poètes, aux amoureux. A ces épicuriens qui s’éloignent chaque jour un peu plus d’un univers ou le vivant n’est plus qu’un produit parmi tant d’autre. Un  moyen de briller, d’exister à grand coup de hashtag.

C’est à eux que je pense, à eux que je dédie les images qui suivent .A eux  pour qui je consacre parfois quelques heures de ma vie à essayer de ralentir un présent dont je comprends chaque jour un peu plus qu’il me faut profiter, de peur probablement que tout cela ne soit que le reflet de ce miroir qui me hante.

 

 

Entre Lozere et Aveyron

Des innombrables vallées que je parcours tout au long de l’année, il en est  pour lequel je voue une admiration particulière.

Entre Lozère et Aveyron, de Lot, de Tarn, de Dourbie, de Jonte, autant de paysage, d’atmosphère  que j’aime parcourir canne à mouche en main.

Si pour certains ce weekend end fut l’occasion de palabres probablement  inutiles, il fut pour moi avec quelques amis d’auvergne passion mouche l’occasion d’un grand bol d’air. Opportunité aussi de réaliser les premières images avec la go pro hero 6.De quoi apporter un petit plus au blog , du moins je l’espere.

Des heures de pêche ou l’on a  eu la chance de vivre  une fois encore la frénésie de poisson qui entre deux périodes d’eaux hautes avaient choisi de se saisir de la moindre mouche passant à leur portée. Des nymphes qu’il fallait conduire à la bonne profondeur. Des montages simples à l’image d’une de mes classiques à bille blanche montée à partir d’un dubbing de lièvre pour donner de la vie.Indispensable lorsque les poissons sont encore un peu léthargiques.

Une pêche sous la canne, lente, dans les eaux bleutées d’une fraicheur qui reste perceptible sur les berges, signe d’un printemps qui s’installe de la manière la plus incertaine qui soit.

Premier prétexte aussi à fuir la foule en bon solitaire que je suis.

Loin, très loin de cette culture actuelle qui pousse au rendez-vous incontournable ou l’unique but serait d’être présent pour se montrer en bon « m’as-tu vu », étalant dans chaque conversation cette aspiration Rocco sifredienne de se prétendre expert de la gaule.

Ainsi sifflotant  un air de manu chao dans la tête, une petit nymphe à bout d’un trout hunter , me voici là au cœur d’une vallée encaissée, surprenant de mon insolence quelques vautours fauves qui me guettent

D’une vie social pleine de rebondissement, j’ai préféré les temps de quelques heures assouvir cette perception qui est la mienne de la pêche.

Des paysages,de l’eau, des poissons, et surtout être peinard

Lecture d’Avril : 8.6,Pêche Mouche,Petit Jean

Entre deux parties de pêche,  comme une pause salvatrice, je profite de l’arrivée du printemps et de la chaleur d’une après-midi pour m’adonner à quelques lectures.

Comme à chaque fois l’annonce d’une nouveauté attire mon regard. Depuis quelques semaines le premier numéro du magazine 8.6 a pris le relai de « Pêches sportives ».

Un magazine plus dense qui nous invite au fil de 146 pages à la rencontre d’univers très diffèrents.

De la maitrise du no kill en pêchant aux leurres, aux boites à mouches idéales  pour parcourir l’Ain , l’Aude et bien d’autres contrées , c’est un contenu riche qui nous donne l’envie de lire avec enthousiasme un numéro 1 dont l’unique petit point noir résidera  peut-être dans son prix  .

18€ pour un tri mensuel  même de très grande facture reste à mon avis une cout très important et beaucoup je le crois prendront le temps de feuilleter chez leur buraliste chaque parution avant de craquer pour ces belles pages.

L’arrivée de mai signe aussi la parution du numéro 126 de la revue « Pêche Mouche ». Fidèle parmi les fidèles, c’est avec impatience que je parcours ce numéro.

Comme à son habitude , nous aurons plaisir à partager les conseils des différents auteurs à travers des sujets aussi vastes que la traque de gros spécimens en sêche à l’invitation qui nous est faite d’aller voir ce qui se passe en Islande.

Pour ma part en bon régional je ne résisterai pas à une lecture plus attentive d’un article de J.B Nuremberg sur les ombres de l’Alagnon. Comme une mise en appétit pour aller à la rencontre de la plus auvergnates de nos rivières, l’Alagnon traversant successivement le cantal, la haute Loire et le puy de dôme.

Continuant cet intermède culturel, il me faut maintenant aborder un coup de cœur : Le livre de Marc Petit Jean.

Un ouvrage référence qui invite les amoureux du cul de canard à la rencontre des célèbres montages que sont les MP 10,22, 81 et tous les autres. Des step by step détaillés au maximum qui nous offre une parfaite maitrise de  ce matériel .L’auteur nous invitant aussi au fil des pages à la rencontre de l’histoire du CDC dans le monde la mouche.

Difficile de résumer en quelques lignes la beauté de ce livre, si ce n’est de prétendre qu’il est un des vrais indispensables dans toute belle bibliothèque de passionné de pêche à la mouche.

Ainsi pour conclure ce propos je vous laisserai comme une mise en bouche une vidéo de Marc Petit Jean ou il nous dévoile ses 8 mouches qui suffisent

De la noyée à Fly-Concept

Pour beaucoup de nos rivières, les niveaux sont peu prometteurs pour les pêcheurs à la mouche. De la neige encore bien présente sur les sommets , de la pluie qui a fait gonflé certains secteurs , autant dire que ce début de saison se révèle un peu compliqué.

On profite alors du moindre espace, du moindre créneau à l’image d’une Sioule qui est passé sous la barre des 15m3 pour ce week end d’Avril

Des conditions changeantes ou l’on passe d’une chaleur naissante à la froideur d’une pluie fine qui descend sur la vallée .Des conditions instables mais parfaites pour apercevoir des éclosions.

Comme une irrésistible invitation à consacrer ces moments à l’une des pêches que j’affectionne les plus : la mouche noyée.

Après des heures passés à chercher ses dames au streamer je goute enfin le plaisir de la douceur de ma canne switch.

Un format 11pied 3 qui se révèle enthousiasmant pour maintenir les mouches dans la colonne d’eau. Un format 11 pied 3 dont je mesure la confort lorsque l’on cale à la manière des saumoniers la canne sous le bras laissant vagabonder mes fétiches dans les courants juste balancer de quelques tressautements.

Un format 11pied 3 qui me donne des sensations magiques lorsque j’ai la chance de croiser la première dame de la Sioule qui s’offre à mon nouvelle ensemble.

Une envie de tester des nouveautés en ce début de saison à l’image de la soie Cortland Mono Core que je ne connaissais pas et dont le but principal réside dans l’urgence à remplacer ma soie Compétition Nymphe LL0.55 Soldarini.Un des rares produits qui m’aura profondément déçu,rendu cassante à la moindre solicitation,elle stagne au fond d’un tiroir.

Au final Je retrouve cette marque Cortland qui m’aura accompagné des années en réservoir à travers les  444 SL dont je suis fan.Un investissement à confirmer après un nombre de sortie suffisant pour se faire un véritable avis.

Une soie mono core au profil DT qui se marie à merveille avec ma Maxia et m’offre l’opportunité de conserver de la finesse pour les pêches sous la canne en période de pluie.

Poursuivant ces lignes autour du shopping, je profite de l’instant pour vous annoncer l’arrivée d’un nouveau Fly shop dans le paysage Puy de Domois .

Fly concept nous propose l’ensemble des produits essentiels au Fly tying.Mais c’est aussi et surtout le retour des mouches de la Sioule mise au point par Vincent après des années d’expérience sur notre riviere.De quoi garantir le succès de belle journée de pêche et la rencontre des magnifiques truites des Combrailles.

Découvrir Fly Concept  : http://www.fly-concept.fr/

Ainsi s’achève ces lignes avec comme point de mire un article prochain ou je vous inviterai à quelques lectures et notamment le livre de Marc Petit Jean.

Un mal qui passe inapercu

De Sioule il existe d’innombrables visages dont je ne cesse de vous parler ici.

Du plus idyllique ou lorsque le mois de mai venu,le spectacle des grandes éphémères vous emporte dans l’espoir de croiser le plus beaux des joyaux.

A une autre réalité.Celle qui vous oblige à  prendre le temps d’écouter la rivière.Celle qui m’avait conduit à la veille de la pêche électrique à être un des seuls à avoir pris le pari de résultat qui n’aurait rien d’une surprise.

De Sioule au fil des années, j’ai compris que mon regard de pêcheur concentré, attentif, absorbé de mon résultat pouvait me conduire à passer à côté des choses essentielles .J’ai appris que je devais parfois sacrifier  les meilleurs spots de pêche pour plonger mon regard au fond de l’eau essayant de capter quelques cicatrices.

Comme à mon habitude maintenant , je consacre de long moment à ne pas pêcher,  à observer le moindre détail, assumant cette identité contemplative riche des fondamentaux d’une pêche à la mouche venue d’une autre époque.

Un caillou que je retourne pour regarder l’épanouissement de la vie, un oiseau dont la présence n’est plus, un chevreuil qui boit à la rivière,des éclosions de moins en moins intenses ,  l’éclat blanchâtre d’une vie qui se décompose au fond de l’eau.

Aprés plusieurs jours de pêche depuis l’ouverture, de la haute à la basse ,ce ne seront pas moins de 5 cadavres confirmés (+1 probable)  qui viendront m’alerter d’un mal que je sais profond sur la rivière et dont l’intensité augmente de manière exponentielle.Un mal que beaucoup ignorent , incapable peut etre de regarder aux bons endroits.

Un mal dont je ne  fais ici que le relai laissant à chacun le loisir de son commentaire. Une mal dont la simple évocation suffit probablement à faire de moi un être politiquement incorrect.

Un mal dont l’expansion va entrer directement en raisonnante avec la fragilisation de nos écosystèmes.

2018 , premières truites en sêche

De nos rivières d’Auvergne, ce début d’avril nous apporte encore du froid et des niveaux d’eaux compliqués à appréhender à la mouche.

Pourtant quelques rayons de soleil suffisent à faire naitre la vie .Des éphémères, des museaux qui se dessinent.

L’occasion de prendre la mesure des différents modes macro de mon TG5

Découverte de l’olympus TG5 : http://auvergnepassionmouche.fr/olympus-tg5-un-baroudeur-pour-les-pecheurs/

De longues minutes ou je m’amuse à observer l’infiniment petit. Des instants où l’on regarde la manière qu’ont  les poissons à se saisir de ces imitations. L’occasion de chercher sur le net un exemple de montage parfait pour la situation.

Ce sont les premières truites de l’année en sèche.

Moment magique qui donne à la pêche à la mouche ces lettres de noblesse

2018 ; les premières semaines de l’année

Cela fait maintenant quelques semaines que nous avons retrouvé les rivières.

D’une ouverture bien fraiche, le printemps prend son temps pour arriver. C’est l’époque des premières fleurs

L’époque des premières éclosions

Une époque ou de Sioule, EDF nous livre quelques perturbations. Une instabilité dont l’unique conséquence aura été de perturber quelques esprits chagrins .Expert d’une rivière dont la seule pertinence d’analyse se situe une fois encore dans le plaisir de critiquer.

Ainsi  par le passé aurais-je pris part  à ces conversations, à ces échanges si impertinents soit-il. Mais aujourd’hui de tout cela, je l’ai écrit, j’en cède ma place, fuyant comme la peste ces gens et leurs causeries. J’aspire à  une profonde  tranquillité.

De Sioule, de la compagne de mes rêveries halieutiques me voici comme rarement, apaisé, reposé, dégustant le plaisir simple d’une partie de pêche avec les membres de notre club.

Je retrouve la complicité qui nous unis avec Vincent .L’envie de changer nos façons d’appréhender la rivière, de trouver d’autres terrains d’expression, d’essayer quelques nouveautés à l’image de ces approches made in usa que nous avons entrepris d’exploiter.

Au cœur d’une tendance ou la pratique all Hilo a envahis  l’univers de la pêche à la mouche, il est un constat important sur lequel je m’interroge.

Combien de pratiquant ont perdu cette envie de faire voler de la soie dans les airs ? Combien de pêcheur à la mouche ne sont plus que des pêcheurs avec des mouches, incapable de lancer proprement à plus d’une dizaine de mètre.

De l’autre côté  de l’atlantique, certains iront pour compenser  quelques besoins de pliage de carbone qu’il n’arrive plus à faire en France ,d’autres iront pour commenter les fameuses truites bassines du green river .Pour nous , ce périple aura surtout été l’occasion de comprendre une autre façon de faire et d’essayer de transposer cela à nos grandes rivières que sont la Basse Sioule et l’Allier.

D’une canne switch pour la noyée et le streamer à l’usage de Strike indicateur  venu tout droit des us et bientôt disponible dans un Fly shop du Puy de dôme, c’est bien le besoin de retrouver du cast qui anime mon début de saison.

Nous retrouvons le plaisir de ces pratiques  à distance qui nous éloigne des séquences ou l’on passe des heures à racler comme des automates la moindre veine d’eau.

Des pratiques qui dans les conditions difficiles, sur des débits forts et eaux froides nous ont conduit à des résultats étonnants d’efficacité, permettant de prospecter chaque portion de rivière en alternant des choix de stratégiques différents .D’une pêche portante dans les secteurs plus calmes à une pêche très lourde en plein milieu de la rivière tractant sur le fond des mouches spécifiques. Des nymphes dont on devra encore passé quelques heures à l’étau pour parfaire leur adaptation à répondre aux exigences des truites de la Sioule.

Ainsi de ces poissons d’avril, il est temps de conclure ces premières impressions de l’année.

L’occasion  comme la suite logique d’une aventure, de vous remercier tous de votre fidélité à auvergne passion mouche qui a fêté hier ces 7 ans d’existence.

L’occasion pour moi de vous inviter surtout à faire de la pêche la mouche une aventure qui sans cesse se renouvèle.

L’occasion de poursuivre ces lignes en vous invitant vers quelques découvertes à l’image de la chaine YouTube de Fréderic ou il partage ces montages.

Découvrir la chaine de Frederic : https://www.youtube.com/channel/UCQ475qpCeiVvNYK-ghVGA8w

Comme une mise en bouche , un montage parmi tant d’autres qu’il nous propose :