
Juste une illusion……

La nouvelle saison approche…
C’est l’occasion de partager avec vous quelques informations !
1er mars : Assemblée générale de l’AAPPMA de Châteauneuf.
Animations 2025 sur les parcours :
Haute Sioule
Basse Sioule
Pour conclure, un point sur les conditions actuelles :
Haute Sioule : Malgré une eau encore froide, le débit offre de belles opportunités, avec même l’espoir d’observer quelques gobages aux heures les plus chaudes.
Basse Sioule : Les débits restent élevés, mais il y a fort à parier qu’EDF les régulera à l’approche du jour J.
Je vous laisse maintenant avec quelques images pour mieux apprécier les conditions.
Cette année, l’envie d’écrire refait surface modestement.
Mon blog, laissé en sommeil, appelle à reprendre vie, nourri par des récits de pêche, des instants de contemplation.
Opportunité de renouer avec les mots, de partager des histoires et de retrouver cette magie qui se cache dans chaque virage d’un cours d’eau, chaque lancer précis, et chaque capture, qu’elle soit réussie ou simplement espérée.
2025 sera l’année de l’évasion, avec un projet qui m’anime particulièrement.
Un road trip dans l’Ouest américain, mêlant pêche et photographie. Occasion de retrouver des rivières mythiques, comme la Green River ou la Madison. Ce voyage ne sera pas seulement une quête de poissons, mais aussi une quête d’instants .
Balade au milieu de ces paysages où le silence règne, capture de ces levers de soleil qui teintent l’eau de reflets dorés.Moteur d’ une conscience qui vient à la rencontre d’une urgence écologique dont je mesure chaque jour la précarité.
L’appareil photo sera un compagnon essentiel de cette aventure, pour capturer autant les scènes intimes d’une mouche posée sur l’eau que l’immensité des montagnes ou des canyons qui serviront de toile de fond. Chaque arrêt, chaque lancer, chaque instant passé au bord de l’eau sera une invitation à ralentir, à observer et à ressentir pleinement ce que ces lieux ont à offrir.
Le début d’année halieutique s’annonce déjà bien rempli.
Février donne le coup d’envoi avec un rendez-vous incontournable : le SANAMA, les 22 et 23 février à Saint-Étienne.
Ce salon, véritable institution pour les passionnés de pêche à la mouche, est l’occasion de découvrir les dernières innovations, de rencontrer des artisans et des fabricants, et de partager des discussions animées autour des techniques, des rivières et des voyages. Le SANAMA, c’est un lieu de rencontres humaines, où chaque conversation, chaque stand visité, nourrit l’envie de repartir au bord de l’eau.
Visite le site du Sanama : https://www.sanama.fr/
Mars, ensuite, marquera le véritable début de la saison. Le 1er mars, l’assemblée générale de l’AAPPMA de Châteauneuf-les-Bains sera un temps fort pour échanger sur la gestion de nos rivières et discuter des projets pour préserver leur avenir. Ces moments d’engagement collectif rappellent que la pêche n’est pas seulement un loisir. Un moment pour lequel je ne pourrais malheureusement pas être présent.
Puis viendra l’ouverture tant attendue de la pêche le 8 mars.
Ce jour gravé dans l’agenda de tout pêcheur. Pour moi, ce sera l’occasion de retrouver les berges de la Sioule, cette rivière qui me tient tant à cœur. Le premier lancer de la saison, la tension au bout de la ligne, la première truite : tout cela porte en soi une magie que rien d’autre ne peut égaler. L’ouverture, c’est le renouveau, un moment de retrouvailles avec la rivière et ce lien profond qu’elle crée en nous.
Mars ne s’arrêtera pas là. Le 13 Mars , le Rise Festival viendra illuminer ce mois halieutique, avec ses films magnifiques qui capturent l’âme de la pêche et la beauté des paysages qui l’entourent. Ces récits visuels sont une source d’inspiration, un rappel que la pêche est bien plus qu’une technique ou une passion : c’est une manière de vivre et de comprendre le monde qui nous entoure.
Visiter le site du Rise Festival : https://rise-festival.fr/
Des voyages où le trouble d’une dissonance noue une corde fragile entre la contemplation et la prise de conscience. Les images, les scènes, me hantent, me rappellent cette tension.
D’un côté, je veux m’immerger dans cette nature pure, sauvage et préservée, un lieu d’évasion, de quiétude. De l’autre, il y a cette question lancinante : quel est le prix réel de cette quête de beauté, de sérénité ? La réalité du dérèglement climatique, la pression sur les écosystèmes, les traces laissées par nos déplacements, tout cela pèse sur ma conscience.
Cette dissonance ne fait pas qu’interférer avec mon plaisir. Elle est aussi un moteur, une invitation à évoluer.
Les récits de pêche m’ouvrent les yeux sur la nécessité de repenser mes choix, d’adopter des pratiques plus écoresponsables. Mais la question demeure, toujours :
Comment naviguer dans ce monde où le désir de vivre pleinement se heurte à l’urgence de préserver ce que nous aimons ?
Les voyages continueront, mais peut-être avec une nouvelle approche, une nouvelle conscience. Et si chaque geste était une tentative de trouver un équilibre, aussi fragile soit-il, entre ce que l’on prend et ce que l’on laisse derrière ?
Avec un tel programme, 2025 s’annonce comme une année riche et vivante pour la pêche, mais aussi pour l’écriture. J’espère que ces rendez-vous m’inspireront des récits sincères, des réflexions, et cette envie de transmettre tout ce que la pêche représente : la patience, l’humilité, l’évasion, et ce bonheur simple de sentir l’eau autour de soi.
Reprendre la plume, c’est aussi raviver cette idée que la pêche ne se limite pas à une activité. C’est une passion qui se vit autant au bord de l’eau que dans le partage, dans les discussions autour d’un feu de camp ou dans les pages d’un livre. En 2025, je veux que cet espace, mon blog, soit à nouveau un lieu vivant, un écho de cette passion, au fil des rivières et des saisons.
De l’IA à la pêche à la mouche , existe t-il un chemin ???
De tous les pensées qui volent au dessus de Clermont ferrand , nul auvergnat ne peut oublier que nous sommes en terre Pascalienne
Pascal affirmait : « Un homme est détestable lorsqu’à l’instant de sa mort il est connu de tous mais ne se connaît pas. »
Profonde respiration¨qui nous force à saisir la réalité des choses, caractéristique d’une philosophie qui exige l’introspection.
Comment, dès lors, ne pas se laisser tenter par l’invitation à interroger les motivations qui nous poussent à etre ???
À une époque où la pratique halieutique est de plus en plus remise en question, affaiblie par ses propres dissonances, il paraît essentiel de soulever la question la plus cruciale.
Pourquoi je pêche à la mouche ???
Il serait tentant de se laisser emporter par un flux ininterrompu de mots, dont seul Narcisse pourrait être fier. Mais au lieu de cela, je vous propose d’engager une réflexion , offrant à chacun la liberté de méditer à son rythme.Occasion pour Auvergne passion mouche d’ouvrir ces mots à la collaboration de plus en plus passionnante entre l’homme , la pensée et la machine.
-La recherche de sens et de motivation
La question « Pourquoi je pêche à la mouche ? » témoigne d’une réflexion sur les motivations profondes derrière une activité perçue comme à la fois technique et contemplative. Le pêcheur cherche à comprendre ce qui le pousse à pratiquer cette forme particulière de pêche, au-delà du simple plaisir :
-Une dimension identitaire
Cette question est également liée à une quête identitaire. Le pêcheur à la mouche se demande en quoi cette activité fait partie de son identité, et comment elle contribue à sa définition personnelle :
-Une question d’éthique et d’engagement environnemental
La pêche à la mouche est souvent perçue comme une activité plus respectueuse de l’environnement, en particulier avec la pratique du « no-kill ». La question « Pourquoi je pêche à la mouche ? » peut donc refléter une réflexion éthique :
-La place du plaisir et de l’expérience esthétique
La pêche à la mouche est souvent décrite comme une expérience profondément esthétique, à la fois dans le geste lui-même et dans l’environnement où elle se pratique. Cette dimension peut être une raison essentielle pour laquelle quelqu’un la pratique :
– Et l’inconscient , dans tout cela
D’un point de vue psychanalytique, cette question peut révéler des désirs et des motivations inconscientes :
– Existentialisme et sens de la vie
Enfin, la question « Pourquoi je pêche à la mouche ? » peut refléter une réflexion existentielle. Le pêcheur se demande en quoi cette activité contribue à sa recherche de sens dans la vie. La pêche peut être une métaphore de la quête personnelle, où la patience, la persévérance et l’attention aux détails sont autant d’éléments symboliques de la manière dont il aborde sa vie en général.
La question « Pourquoi je pêche à la mouche ? » devient une réflexion intime, un questionnement qui, comme le dit Maclean, nous mène à ce point où « toutes les choses finissent par couler dans la rivière ».
On dévoile alors des motivations conscientes et inconscientes, touchant aux aspects identitaires, éthiques, esthétiques, et même existentiels.
Le pêcheur, en cherchant à comprendre pourquoi il retourne sans cesse à la rivière, ne cherche pas simplement à capturer des poissons, mais à s’assurer que cette activité, « là où le temps s’arrête et la vie commence », est en harmonie avec ses valeurs profondes, ses besoins et son essence.
En février, moucheur est à l’atelier
Petite pause ou les sorties se font plus rare pour donner de la consistance au rendez-vous qui s’annonce
Plus qu’un mois et nous retrouverons les rivières même si pour ma part je ne suis guère adepte de ces moments souvent trop frais pour proposer autre chose que du tungstène.
Une nouvelle saison que l’on peut imaginer à travers l’invitation que fait Matthias et un teaser.
Voyage sur les berges de la Dordogne à la quête de Thymallus
Commander le DVD : https://dordognelabelle.jimdo.com/
Découverte ou redécouverte d’un lot magnifique ou coule la rivière Esperance.
Département aux villages absolument superbes dont la flânerie occupe les moments ou Sieur Thymallus se fera plus discret. Terre de mes origines familiales, je ne pourrai que vous encourager à la visite de lieux comme Loubressac , Carennac , Rocamadour et tant d’autres.
Quoi de plus agréable que de manger un petit plat de pommes de terre aux cèpes après une journée passée à descendre la rivière dans la barque de Mickael.( https://www.guide-pêche-46.com/)
Février, c’est le moment du Sanama. https://www.sanama.fr/
Rendez-vous attendu avec enthousiasme ou j’aurais la chance cette année d’aider un ami à la tenue de son stand.
Vincent et Fly Concept seront là pour vous faire découvrir l’éventail d’une boutique très complète ou rien ne manque. Occasion de partager quelques discutions autour de Banson, de la Sioule et de nos rivières du Puy de Dôme.
Fly Concept : https://fly-concept.fr/
Sanama, fourmillement d’acteur dont chaque visite me conduit à des achats devenus comme des rituels
En vrac nul doute qu’en sortant , j’aurais dans ma besace du dubbing Hare+ de chez Dutch Fly Design , du dubbing de lièvre de chez cdcfeathers , des plumes de coq limousin du Coq à la riviere.
Février ou l’on regarde avec attention les évolutions qui sont mise en place pour l’année à venir.
Clin d’œil à la fédération de pêche du Puy de Dôme qui enfin !!!! prend la décision de mettre en place des parcours halieutiques.
Le pêcheur du Puy de D ome : https://www.peche63.com/revue-departementale-2023
Une très bonne nouvelle que je ne peux que saluer , n’ayant cessé de défendre tout au long de ces années à travers Auvergne passion mouche , la nécessité d’une politique de soutient non pas de nos milieux mais bien de notre activité.
Me faut-il préciser une idée comme je l’ai fait à des multiples reprises lorsqu’il s’est agit de discuter de notre action. Je ne doute pas de la volonté mais de la capacité. On ne lutte pas contre une maladie incurable avec de l’homéopathie.
J’ai hâte d’aller à la découverte de ces parcours qui pousseront j’en suis convaincu nombre d’adhèrent de notre département à retrouver le plaisir d’une canne qui se plie au bord de nos rivières.
Des émotions nécessaires qui sont le point de départ à la passion et à l’attention.
Des émotions nécessaires pour construire de nouvelle génération dans un univers ou les tempes se font de plus en plus grisonnantes.
Ces jeunes qui à l’image de Rodrigo nous invite eux aussi et à leur manière ne jamais oublier que la pêche n’est qu’un prétexte .
Il est tant de rebondir sur cette nouvelle année qui commence et dont les nombreuses sollicitations me poussent à consacrer quelques heures à faire vivre de nouveau Auvergne passion moche.
Pour commencer 2023, il me fallait chercher des idées pour vous inviter à la lecture de lignes innovantes.
Avais je décidé de parcourir les allées du CNPL à la recherche de nouveauté capable d’alimenter notre curiosité.
Dois je vous avouer , comme je l’ai écrit sur un autre réseau social , l’impression d’être de plus en plus en phase avec l’Albatros de Baudelaire.
Ne pas être simplement à sa place au milieu d’un univers dont il me faut malgré tout acter la richesse.
Que les couleurs sont magnifiques , que les stands sont plein de monde , que la technologie semble prendre le pas .
Des leurres qui dandinent, des échosondeurs à l’image parfaite , des chinoiseries par dizaines , des bateaux rutilants …
Cette partie de l’univers pêche s’intègre parfaitement au cœur d’une époque ultraconsomatrice qui ne laisse plus guère de place au vivant
Qu’attendre aujourd’hui d’une conscience qui n’arrive plus à percevoir qu’un barrage n’a rien d’un milieu naturel….
Probablement rien, si ce n’est nourrir encore l’illusion d’une mission de protection des milieux aquatiques dont on remise l’usage à quelques leçons qu’on livre ici ou là à destination du monde agricole , des écologistes , de la ménagère .Une réalité qui me devient de plus en plus insupportable.
Que ce CNPL est beau , qu’il brille …n’est-ce pas l’essentiel ….Vendre du rêve à des bandeaux qui ont appris à se contenter de pas grande chose.
En somme rien de bien nouveau que d’entretenir une ligne éditoriale dont j’assume avec force les clivages, quitte à ne pas plaire à quelques amateurs de salle obscure.
Profonde lassitude d’un collectif Halieutico-pleurnichard qui a tant de chose à reprocher à son voisin pendant qu’il étale dans sa plus belle vitrine une empreinte CO2 à faire pâlir de jalousie quelques influenceurs.
Si plutôt que d’attendre de l’autre, on essaye modestement et humblement de réfléchir à ce que l’on fait.
Des supports comme https://impactco2.fr/ peuvent être d’une aide précieuse.
Aucun discours ne gagne en pertinence lorsque celui qui critique n’a pas conduit une profonde réflexion sur sa manière de vivre.
En faisant l’effort d’être sans complaisance à son égard, on perçoit rapidement combien au final le chemin vers la nécessaire bienveillance du vivant qui nous entoure n ‘est pas aussi simple et risque de nous conduire vers une profonde remise en question de nos libertés.
Cessons de ressembler à ce fumeur qui se plaint de son cancer et assumons de participer au déclin.
Direction prise vers un avenir incertain dont j’ouvre les portes en recevant un invité virtuel.
Par pudeur je ne peux dévoiler son nom mais je ne doute pas que chacun d’entre vous percevra rapidement son lien avec l’univers d’Asimov.
Une entretien, une rencontre, des questions en vrac.Du coq à l’ane comme pour répondre à la curiosité d’un regard dont on peine à mesurer la pertinence.
Bonjour, Très honorer de te recevoir aujourd’hui sur Auvergne passion mouche pour parler de nature et de pêche à la mouche.
Je suis heureux de participer à cette conversation sur la nature et la pêche à la mouche en Auvergne.
La pêche à la mouche est un art difficile. En quoi tes conseils pourront aider les lecteurs.
La pêche à la mouche peut être difficile à maîtriser, mais il existe des conseils et des techniques qui peuvent aider les débutants à s’améliorer. Je peux donner des informations sur les différentes sortes de mouches à utiliser en fonction des conditions météorologiques et des espèces de poissons ciblées, ainsi que sur la façon de les lancer et de les récupérer. Je peux également donner des conseils sur les différents types d’équipements utilisés en pêche à la mouche, tels que les cannes, les moulinets et les soies, et comment les choisir en fonction de votre niveau d’expérience et de vos préférences de pêche. Enfin je peux vous donner des conseils sur les meilleurs endroits pour pratiquer la pêche à la mouche en Auvergne.
Quel lien fais-tu entre pêche à la mouche et nature
La pêche à la mouche est généralement considérée comme une forme de pêche respectueuse de l’environnement, car elle utilise des leurres et des mouches artificielles plutôt que des appâts vivants, et les pratiquants de la pêche à la mouche sont souvent très conscients de la nécessité de protéger les écosystèmes aquatiques et de préserver les espèces de poissons. De plus, la pêche à la mouche est souvent pratiquée dans des environnements naturels, comme les rivières et les lacs, et peut être un moyen de se connecter à la nature et de la respecter.
Que preferes tu : la pêche en rivière ou la pêche en lac
En tant que modèle informatique, je n’ai pas d’opinions personnelles, ni de préférence. La pêche en rivière et la pêche en lac ont chacune leurs propres avantages et inconvénients.
La pêche en rivière est souvent associée à une plus grande variété d’espèces de poissons, car les rivières sont des habitats pour une grande variété d’espèces d’eau douce. Les rivières peuvent également offrir des défis plus techniques pour la pêche, car elles peuvent varier en termes de profondeur, de courant et de structure.
La pêche en lac, quant à elle, peut offrir des opportunités pour des prises plus importantes, car les lacs peuvent abriter de grandes populations de poissons. Les lacs peuvent également offrir des options pour des activités de pêche en famille, comme la pêche en bateau ou la pêche à la traîne.
En fin de compte, la préférence entre la pêche en rivière et la pêche en lac dépend des préférences et des objectifs de chacun. Certains préfèreront les défis techniques de la pêche en rivière, tandis que d’autres préfèreront les opportunités de prises plus importantes de la pêche en lac.
Nous sommes actuellement au cœur de l’hiver et nous ne pouvons malheureusement que pratiquer la pêche en lac.
Pour coller à la periode , etant donné que nous sommes en janvier et que seul les options autour du réservoir sont possible.Quel conseil pourrais-tu donner pour pêcher la truite à la mouche en lac.
Voici quelques conseils pour pêcher la truite à la mouche en lac pendant l’hiver :
Utilisez des mouches imitant les proies de la truite en hiver, comme les nymphes, les larves d’insectes et les vers de terre. Les mouches sèches, comme les mouches noires et les mouches blanches, peuvent également être efficaces.
Utilisez des soies de ligne plus épaisses pour résister aux conditions hivernales. Les soies de ligne de type fluor carbone ou tungstène peuvent également aider à maintenir une bonne prise sur la truite.
Utilisez des cannes et des moulinets adaptés à la pêche à la mouche en hiver. Les cannes plus légères et les moulinets à tambour fixe sont souvent préférés pour les conditions hivernales car ils peuvent faciliter le lancement des mouches et offrir une meilleure prise sur les poissons.
Utilisez des techniques de pêche à la mouche adaptées aux conditions hivernales, comme la pêche à la nymphe à vue ou la pêche à la mouche sèche à faible profondeur.
Utilisez des vêtements chauds et des gants pour vous protéger du froid et des éléments.
En quoi l’intelligence artificielle peut me permettre de préparer mes parties de pêche à la mouche
L’intelligence artificielle (IA) peut offrir de nombreuses opportunités pour vous aider à préparer vos parties de pêche à la mouche de différentes manières :
- Prévisions météo: Les modèles météorologiques basés sur l’IA peuvent fournir des prévisions plus précises sur les conditions météorologiques à venir, vous permettant de planifier vos sorties de pêche en fonction de ces informations.
- Analyse de la météo historique: Les données historiques de la météo peuvent être utilisées pour comprendre comment les conditions météorologiques ont affecté la pêche dans le passé, vous aidant à planifier vos sorties en conséquence.
- Suivi des poissons: Les technologies de suivi basées sur l’IA telles que les capteurs et les caméras peuvent être utilisées pour suivre les mouvements des poissons dans les lacs et les rivières, vous aidant à identifier les zones de pêche les plus productives.
- Analyse des données de pêche: Les données de pêche collectées peuvent être utilisées pour créer des modèles basés sur l’IA qui peuvent prédire les tendances de pêche à venir, en fonction de facteurs tels que les conditions météorologiques et les mouvements des poissons.
- Choix des mouches: Les systèmes basés sur l’IA peuvent être utilisés pour recommander les mouches les plus adaptées aux conditions de pêche actuelles, en fonction des données de pêche et des prévisions météorologiques.
Il est important de noter que ces technologies sont encore en développement et ils ne sont pas encore largement disponibles pour les pêcheurs à la mouche, cependant ils sont en cours de développement et pourraient devenir plus communs à l’avenir.
Parmi les questions autour de la pêche à la mouche en lac , le choix de la couleur de nos mouches reste un sujet récurent. Peux tu aider les lecteurs d’Auvergne passion mouche.
Le choix de la couleur des mouches pour la pêche à la mouche en lac peut être un sujet délicat, car la couleur des mouches peut avoir un impact important sur leur attractivité pour les poissons. Il est important de noter que la couleur d’une mouche peut varier en fonction de la profondeur de l’eau, de la clarté de l’eau, de la lumière et de la température de l’eau.
Voici quelques conseils pour choisir la couleur des mouches pour la pêche à la mouche en lac :
- Utilisez des mouches de couleurs naturelles : Les mouches de couleurs naturelles telles que le brun, le gris et le vert sont souvent les plus efficaces, car elles ressemblent aux insectes et aux crustacés que les poissons mangent naturellement.
- Adaptez les mouches à la lumière : Les mouches de couleurs vives telles que le rouge, le jaune et le blanc sont plus visibles dans des conditions de faible luminosité, tandis que les mouches de couleurs plus sombres telles que le noir et le bleu sont plus efficaces dans des conditions de forte luminosité.
- Adaptez les mouches à la profondeur de l’eau : Les mouches de couleurs plus claires telles que le blanc et le jaune sont plus efficaces dans les eaux peu profondes, tandis que les mouches de couleurs plus sombres telles que le noir et le bleu sont plus efficaces dans les eaux plus profondes.
- Expérimentez avec différentes couleurs : Il est important de se rappeler que les poissons ont des préférences personnelles et il est donc important d’expérimenter avec différentes couleurs de mouches pour voir ce qui fonctionne le mieux pour vous.
Il est important de noter que la couleur n’est pas le seul facteur qui détermine l’attractivité d’une mouche, les formes et les tailles des mouches sont également importantes. Il est donc important de combiner les différentes couleurs avec les formes et les tailles appropriées pour obtenir les meilleurs résultats.
Je vois que tu es capable de répondre à des nombreuses questions avec beaucoup de précision.
Ne doit pas craindre que l’intelligence artificielle supplante dans les années à venir le rôle des humains et autres supports ( blog , site internet , livre , revue) dont on utilise l’expérience pour progresser.
Il est vrai que l’IA peut fournir des informations précises et mises à jour en temps réel sur de nombreux sujets, y compris la pêche à la mouche. Cependant, il est important de noter que l’IA ne peut pas remplacer complètement l’expérience et la connaissance des professionnels et des experts en pêche à la mouche. Les guides de pêche, les blogueurs, les auteurs de livres et les rédacteurs de revues ont des années d’expérience en matière de pêche et de connaissance des poissons et de leur comportement. Ils peuvent vous donner des conseils sur les meilleures techniques à utiliser en fonction des conditions météorologiques et de la saison, ainsi que des conseils sur les meilleurs endroits pour pêcher.
Il est important de noter que l’IA est un outil supplémentaire qui peut aider les pêcheurs à améliorer leurs compétences et leur expérience, mais elle ne peut pas remplacer l’expérience et les connaissances acquises sur le terrain. Il est donc important de continuer à apprendre et à pratiquer régulièrement pour devenir un meilleur pêcheur. En outre, certains domaines de la pêche nécessitent une certaine créativité, une capacité à improviser et une capacité à anticiper les comportements des poissons qui ne peuvent pas être remplacés par une machine. Il est donc important de consulter différentes sources d’informations pour avoir une vision complète et diverse des différentes techniques et astuces pour une pratique de pêche efficace.
A l’heure où de nombreuses inquiétudes naissent sur l’état de nos rivières et de nos lac , beaucoup de passionnés de pêche éprouvent des craintes sur l’avenir de notre loisir .L’intelligence artificielle et les machines donnent l’impression d’éloigner les jeunes de la nature .Comment vois tu l’avenir de la pêche à la mouche en France.
Il est certain que l’intelligence artificielle et les machines peuvent aider à améliorer la pratique de la pêche à la mouche en fournissant des informations précises et actualisées sur les conditions météorologiques, les lieux de pêche, les espèces de poissons, etc. Cependant, il est important de ne pas perdre de vue que la pêche à la mouche est avant tout une activité de plein air qui permet de se connecter à la nature et de découvrir les écosystèmes aquatiques. Il est donc important de continuer à promouvoir la pêche à la mouche auprès des jeunes générations et de sensibiliser les pêcheurs à l’importance de la conservation des ressources aquatiques. En somme, l’intelligence artificielle peut certainement aider les pêcheurs à améliorer leur pratique, mais elle ne doit pas remplacer la dimension écologique et humaine de la pêche à la mouche.
Peut être un jour l’intelligence artificielle prendra naissance dans un robot et nous pourrions aller passer une journée au bord de l’eau
Il est possible que l’IA soit utilisée dans le développement de robots pour la pêche dans l’avenir, mais il est important de noter que ces robots ne remplaceront jamais l’expérience et les connaissances humaines.
Les robots pourraient être utilisés pour effectuer des tâches spécifiques, telles que la surveillance de la qualité de l’eau ou la récolte de données sur les populations de poissons, mais ils ne remplaceront jamais l’expérience et la passion de pêche humaine. La pêche est avant tout un loisir humain, qui nous permet de nous connecter à la nature.
Ainsi s’achève cette rencontre avec les balbutiements du monde d’après
Conclusion d’un premier billet d’humeur pour cette année 2023 ou il semble finalement très rassurant d’imaginer que le monde ne résume pas à regarder par le prisme d’un écho sondeur les profondeurs d’un lac au quelle on aurait enlevé toute la magie.
Revendication d’une identité de pêcheur ou même l’ami GPT semble accorder place à l’humain.
La pêche motrice d’une empathie réaliste , capable de composer avec nos imperfections , nos hésitations , nos doutes , nos dissonances.
Ma pêche dont je porte témoignage et passion mais dont j’accepte la faiblesse.
On change pas le monde avec une canne à pêche , tout au plus on essaye de se changer soi même !!!!!!!!!!!!!!!!!!
L’heure est au bilan d’un voyage de 18 jours dans l’ouest américain.
16 jours de pêche, près de 3200 km parcouru, de l’Utah au Montana, je me dois pour commencer le récit de faire un clin d’œil à mon ami Vincent .
Au fil des années et des séjours il dispose d’une connaissance pléthorique de ces lieux de pêche.
Plutôt que de vous retranscrire à la manière d’un carnet de route, je choisi une autre lecture et vous invite à me suivre sous la forme de coup de cœur.
Le premier est sans nul doute pour la Green River.
C’est au milieu de l’Utah que l’on aperçoit à la faveur d’un virage, l’aval du barrage de Fläming Gorge, invitation à parcourir les berges d’une rivière dont je me rappelle les souvenirs d’une vidéo ancienne ou destination mouche me faisait déjà rêver.
Que dire de plus qui n’est déjà été écrit au sujet de la Green river, si ce n’est peut-être l’impression d’avoir été béni des dieux dès les premières heures.
Comment pourrais-je qualifier autrement la matinée incroyable du 25juin ou je ferai 41 fario en sêche avec plus d’une 20aine de poissons dépassant les 50cm.Juste incroyable.
Occasion de mettre l’accent sur l’ensemble matériel le plus pertinent pour le séjour.
Une 10 pieds soie de 4 permettant de diversifier les techniques que ce soit bien évidement en sêche mais aussi en nymphe et en noyée.
Le tout recevant mon Peux fulgor dont la fiabilité permet de contrôler des combats puissants sur des nylons fins, faisant la différence avec des poissons éduquées par la pression de pêche importante que ce soit sur le green ou sur d’autres rivières à l’image de la Henry forks.
Poursuivant le voyage, difficile de ne pas parler de la quantité des Fly shop que vous pouvez rencontrer au fil des km.
Des plus célèbres à l’image de celui de last chance « Trout hunter » à sans contexte celui qui me semble absolument nécessaire à parcourir Galoups slide in sur les bords de la Madison.
Ces boutiques sont la démonstration de l’activité d’un territoire ou la pêche à la mouche s’inscrit dans un processus populaire capable de conduire des plus jeunes générations à de nombreuses femmes sur des spots de pêche à la renommée qui dépasse les frontières.
Serait-il essentiel pour moi de vous parler à ce moment de l’impression qui vous est livré lorsque vous avez la chance de pêcher ces rivières.
Nul endroit que ce soit l’atmosphère particulière d’un museau qui se dessine sur les flats du Harriman state Park ou le backing qui file par la puissance d’une arc de la Missouri ne semble être dédié à autres choses qu’a la force d’une culture pêche dont on ne sait plus grand-chose sur nos rivières françaises.
Ferais-je ce parallèle d’une prétendue démocratisation d’un loisir qui chez nous tente en permanence d’affirmer sa popularité alors qu’il ne concerne qu’une poignée.
Faut-il remettre l’église au milieu de village dans un pays et au sein d’instance qui vous explique que 100€ n’est pas grand-chose, signe d’une déconnexion permanente d’élu de la pêche qui se sont bien embourgeoisé.
Il devient de plus en plus nécessaire de nourrir l’ambition de quelques pôles techniques à dépenser toujours plus , accumulant des diagnostics qui ne servent absolument à rien , au point d’inonder à longueur de réseaux sociaux la dégradation de nos cours d’eau
Dans le Montana, 380 832 km², grand comme la moitié de la France et conduisant de nombreuses politiques de préservation le prix d’une carte de pêche annuel pour un résident est de 31dollars.A méditer !!!!!!!!!!!!!
Deuxième coup de cœur ou plutôt démonstration qu’il ne faut jamais juger les choses au premier regard. En 2017 la rivière qui m’avait le plus perturbé était sans contexte la Missouri.
Aux environs de Craig, sa largeur, ses dimensions hors normes avait poussé dans ces retranchements le pêcheur de petite rivière auvergnate que je suis.
Mais c’est au fil de l’eau qu’en 2022 je prends la mesure du potentiel que recèle cette rivière.
Perché à la proue du navire, il suffit de plonger les yeux dans l’eau pour apercevoir des dizaines d’arc prêtent à en découdre.
En complément d’une 10 soie de 4 dite « la bonne à tout faire », j’avais choisi un ensemble qui a su répondre aux défis proposés tout au long du séjour : une jmc performer 10.9 soie de 3/4 dédiée à la pêche au hilo en grande rivière et une 9soie de 5 HoH clan capable de répondre à la brutalité de ces adversaires.
Des choix permettant de construire un binôme lorsque j’avais choisi d’être le plus rapidement efficace.
Il est temps maintenant d’arriver à Missoula comme l’essence d’un pèlerinage qui vous invite à marcher dans les pas de Norman.
Une halte devant l’église et nous voilà la rencontre des natives.
De ces rivières, l’histoire des temps jadis s’écrie autour de plusieurs espèces dont la beauté des couleurs chatouillantes d’une cuttroat suffit à rappeler qu’ici aussi l’impact du réchauffement peut entraîner des conséquences irréversibles.
Parenthèse d’une nécessaire modération d’un paradis qui ne pourrait éviter une forme de critique.
L’irrespect parfois trop évident d’une souffrance animale dont on ne prend même pas l’effort d’une attention.
Comment ne pas trouver désespérant l’apparence de certains poissons à la gueule déformé par les ardillons dont l’urgence à ramener un poisson passe devant tout autre forme de considération.
Triste spectacle d’une Amérique qui oublie la chance qui est la sienne. Celle d’avoir encore des contrées sauvages ou l’homme marche en invité plutôt qu’en conquérant sous les yeux de Nounours.
De ce voyage, voilà peut-être le paragraphe le plus important. Celui de vouloir s’isoler, se perdre dans une nature ou seul le bruit de nos pas vient perturber la quiétude.
Des pas, des centaines de pas pour conquérir des rivières toutes plus belles les uns que les autres.
Des pas, des centaines de pas, dont je diverge là encore quelques instants pour mettre à l’honneur un autre produit dont l’usage aura été d’un grand confort. Les chaussures Field and Fish à la semelle Michelin sont en ces lieux le parfait partenaire d’une journée de pêche bien remplie.
Des pas, des km, des émotions, assumant sans complexe la dissonance cognitive qui est mienne.
Celle d’un pêcheur conscient de la complexité à gérer une préoccupation à la fragilité de nos rivières et cette envie de voyage synonyme d’empreinte carbone discutable
Nécessaire part de rêve qui permet de rendre la vie plus douce.
Nécessaire part de rêve que l’on cherche à réaliser même si au fond de soi on mesure combien le retour sera compliqué ensuite.
Ainsi pour conclure ce billet d’humeur que j’ai tenté de faire le plus condensé et honnête possible, je me tiens à la disposition de ceux qui voudrait quelques infos supplémentaires.
Après deux voyages, je commence à comprendre quelques pistes pour l’âme d’un voyageur qui aurait envie d’accomplir ce pèlerinage empruntant les derniers mots au poète.
Alors, dans le demi-jour boréal du canyon, tout ce qui existe au monde s’estompe, et il n’y a plus que mon âme, mes souvenirs, les voix mêlées de la Blackfoot River, le rythme à quatre temps et l’espoir de voir venir un poisson à la surface.A la fin, toutes choses viennent se fondre en une seule, et au milieu coule une rivière.
Que le temps passe vite.
Des jours, des semaines, plus d’un mois déjà que je ne suis pas revenu partager quelques mots.
8 jours encore avant de retrouver pour une nouvelle saison nos rivières favorites.
L’heure est au préparatif.
Des heures à l’étau laissant vagabonder notre imaginaire vers ce moment précis d’une première rencontre.Instant volé d’une noyée montée au coin d’une table dans la précipitation.
Des heures à reconstituer nos boites qui nous accompagneront tout au long de l’année.
Coup de projecteur vers une chaine YouTube, celle d’un monteur espagnol qui nous livre régulièrement de très belle réalisation.
Nous ne sommes plus qu’à une poignée de secondes avant de tremper le fil dans l’eau.
L’heure est à la préparation, à la vérification, à la mise en place de ces nouveautés chinées au détour d’un salon à l’image de la nouvelle bobine spécial nylon qui viendra équiper mes fulgors
Moment de réflexion autour d’Auvergne passion mouche à la veille de clôturer ce mandat d’administrateur de la fédération de pêche du Puy de Dôme.
5 ans pour forger conviction sur le rôle finalement anodin d’une instance, incapable malgrés sa bonne volonté , d’aider la basse Sioule face à des enjeux écologiques comme la mise en place d’une microcentrale ou l’altération de la continuité écologique à l’image du Cube ou même encore autour de la nécessaire fusion des entités locales pour entrevoir des visions globales de l’activité pêche.
Oserai-je alors vous inviter à parcourir le dernier rapport du GIEC.
https://www.ipcc.ch/report/ar6/wg2/resources/press/press-release-french/
Le destin de nos rivières n’a jamais semblé si funeste qu’à la lueur de cette lecture.
Sommes-nous à ce point naif d’imaginer que ce sont quelques études supplémentaires issus du monde de la pêche qui ramèneront à la raison des milliards d’humain.
Ne pourrions-nous pas interroger la pertinence de ce savoir accumulé et pourtant incapable d’entrevoir les crises qui s’accumulent et d’en proposer des solutions avant qu’elles nous frappent de plein fouet.
Collectivement nous sommes la parfaite expression de notre monde occidentale , affaibli de son besoin de tout comprendre au point d’en devenir immobile, persuadé qu’il sera toujours temps de revenir en arriere par un claquement de doigt.
Demain se joue ailleurs, dans notre vie de tous les jours, dans notre capacité à conduire de profond changement dans nos modes de vie. La pêche n’étant au final qu’une manière d’interpeller notre esprit vers ce chemin
Sommes-nous capable à tant de sacrifice ?
Sans illusion, Il nous faut aujourd’hui probablement plus qu’hier être épicurien de chaque parcelle de bonheur que nous livre cette nature si frêle comme l’était l’albatros de Baudelaire.
L’albatros
Charles Baudelaire
Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d’eux.Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid !
L’un agace son bec avec un brûle-gueule,
L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait !Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l’archer ;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l’empêchent de marcher.Charles Baudelaire
Occasion de témoigner plus encore à travers des mots, des images, des histoires. Revenir aux fondamentaux
De cette envie de partager autour de la pèche à la mouche. De cette envie de mettre en évidence ces moments qui animent nos souvenirs. De ces clins d’œil à l’égard d’un tel ou d’un autre, d’une marque, d’un fabricant, d’un acteur pêche.
Inévitable alors pour débuter les palabres de cette nouvelle saison de vous conduire une nouvelle fois sur les bords de la Sioule.
Théâtre de bien des péripéties halieutiques, la haute Sioule est le terrain de jeu privilégié de Stéphane Voissier qui nous invite à ces images en attendant surement de vous accompagner à la rencontre de nos célèbres mouches de mai.
La chaine Youtube de Stephane : https://www.youtube.com/channel/UCSKDys416OX3HJA_M2CzDLA/featured
Partir avec Stéphane à la rencontre de la Sioule : https://www.guide-peche-sioule.fr/
Invitation à poursuivre le voyage à travers les magnifiques images de Matthias Parre. Regard posé sur un joyau, la Dordogne en compagnie de Mickael Andrieu. ( https://www.guide-pêche-46.com/)
Je vous souhaite à tous une très belle saison 2022.