De retour à l’etau /Nov2020

J’avais tout prévu

La chance de découvrir une nouvelle marque de canne. HOH comme point de repère de cette arrière-saison.

Refait les stocks de nylon après la traque des truites et des premiers ombres de septembre. Clin d’œil à mon ami Vincent qui comme moi est un adepte du millo et  le distribue chez http://www.fly-concept.fr/.

 

J’avais tout prévu sauf que nous allions être confinés.Pourtant contre mauvaise fortune  je fais bon cœur, voyant dans cette période l’opportunité de repenser quelques boites et de compléter les absences.

Opportunité de partager avec vous une sélection de  montage  que j’apprécie et qui sont les moteurs d’une pratique réservoir plaisir.

Celle dont je parle régulièrement : La pêche au fil plaqué

Une pratique la plus légère possible. Une canne, un moulinet, une soie, un bas de ligne intégrant un nylon coloré, une pointe de plus de 3 à 4 m et c’est partis.

Comment pour commencer ne pas donner un peu de lisibilité à l’une des proies favorites de  nos arcs : Le chironome.

Imitation simple qui fixe l’idée d’une pêche la plus proche possible de la réalité et de la nature. Un montage qui me permet de mettre en lumière  une marque de fly tying dont j’apprécie : les produits Swiss CDC

Découvrir Swiss CDC : https://www.swisscdc.com

Une marque disponible dans la boutique PLC Pêche https://www.plc-peche.fr/  partenaire d’auvergne passion mouche. Magasin qui malgré le confinement continue d’assurer la distribution  via son site internet.

Poursuivant autour de cette pêche au fil, les tendances actuelles en réservoir nous poussent de plus en plus vers ces chenilles miraculeuses ou l’on oublie parfois que l’éducation des truites altère très rapidement la réussite de nos parties de pêche.

Nul doute alors  que des modèles parfois dessuées à l’image des patates ou apps Worm peuvent se montrer d’une efficacité surprenante en particulier sur les lacs très pêchés.

La maitrise de la pêche au fil à la différence des pêches à l’indicateur nécessite une gestion parfaite de l’immersion.

Il s’agit à l’inverse de ces pêches ou l’on soutient dans une zone précise un mouche à l’aide d’un bung  ou d’une sèche, d’utiliser l’ensemble de la colonne d’eau disponible. Il nous faut des mouches planantes capables de descendre le plus lentement possible.

Contrairement à la majorité de mes modèles pour la pêche à vue  où l’on peut proposer des montages lisses, j’avoue choisir  l’usage de matériaux  le plus vivants possibles .A ce jeu, je voue un intérêt important à l’autruche.

Disponible dans une gamme de couleur étendu, ce matériel est prétexte pour moi à la réalisation d’une mouche simple que je décline  en taille 16/18/20 autour d’un lestage laiton.

Enfin comme une valeur refuge ,un marronnier  qui regroupe un aspect psychologique fort, j’aurais pu évidement vous parler du  kikinou qui reste ma réponse lorsque je me mets à douter. Mais à ce moment de l’article je reviendrai sur un modèle de référence  qui reste une classique parmi les classiques.

La Montana, déclinaison d’un montage référence que j’adapte un peu à ma sauce par l’usage d’un corps en scud back plutôt qu’en chenille.

A ramener , à laisser planer , à laisser vagabonder dans les couloirs de vent , la Montana pour clore ces lignes autour du montage.

De la lecture que je vous invite à poursuivre à travers le dernier numéro du magazine pêche mouche qui nous livre un article trés complet autour de 10 techniques de pêche de saison.A lire sans modération

 

 

 

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