Il y a quelques temps j’avais écrit un topo sur la pratique de la pêche en noyée , c’est une sorte de synthese de ma façon d’apprehender la pratique de maniere assez rapide .Quelques conseils sans pretention .
Pourquoi ne pas penser à la pêche en noyée ?
L’arrivée de la pêche en nymphe et en particulier la nymphe à vue amenèrent cette technique aux oubliettes . Considérer comme démodée , passéiste , pas assez subtile, les mouches noyées ont petit à petit arrêter d’orner nos boites à mouches.
Pourtant il fut un temps ou cette technique régna en maître sur le monde de la pêche à la mouche , un temps ou nul ne pouvait prétendre savoir pêcher sans maîtriser un train de pallaretta et de black pennel . Que se soit en angletterre ou dans quelques coins de notre hexagone cette technique permit de découvrir bon nombre de rivière et surtout de prendre d’innombrables poissons.
Issus d’une longue tradition elle est souvent l’écho de nos terroirs.
I.Redécouvrir la pêche en noyée.
Un des atouts principales de la pêche en noyée est l’adaptabilité de cette technique.Elle peut être pratiquée dans presque toutes les conditions ( eaux fortes , eaux basses , début ou fin de saison) et sur l’ensemble de nos réservoirs et de nos rivières s’adressant aussi bien aux truites qu’a la pêche de l’ombre, ainsi qu’aux cyprinidés.
Elle est à mon avis une technique sure pour appréhender une nouvelle rivière, pour connaître l’activité des poissons et surtout elle sait être d’une efficacité assez impressionnante lorsqu’elle est bien mise en oeuvre.
II .Le matériel
Dans la pêche en mouche noyée , la canne revêt un aspect fondamentale . Elle se devra d’abord être assez longue pour facilité le contrôle des mouches et les mendings .Le minimum sera de l’ordre de 9’5-10′ , on pourra aller même vers des cannes à deux mains de type 12,13′ soie de 5-6. Il conviendra aussi de choisir une canne d’action assez douce pour éviter au maximum les décrochages lors de la prise des noyées par le poisson. La soie sera généralement de type wf 5-6 f même si personnellement j’affectionne les modèles de type flottant pointe intermédiaire.
Il est à noter que suivant les postes rencontrées et la vitesse du courant il pourra être intéressant de posséder plusieurs densité de soie ; malgré tout on peut limiter le coût du matériel grâce à l’avènement des polyleaders qui permettent de présenter des mouches à plusieurs niveaux sans changer de soie.
De manière résumé on peut pourra faire un inventaire du matériel nécessaire comme ceux ci :
-Une canne de 9’5 à 10′ soie 5-6
-Une soie WF 5-6 F ou F/I
-Une gamme de polyleader de type Intermédiaire , Sinking et fast Sinking
III Le bas de ligne et positionnement des mouches :
Plusieurs formules de bas de ligne pour pêcher en mouches noyées , personnellement voici la formule que j’utilise d’une longueur totale de 3,80 avec une pointe de 1,50 m avec laquelle je constitue mon train de mouches
La pêche en noyée est synonyme de pêche avec un train de mouche , il s’agit donc sur la pointe de repartir le plus souvent 3 mouches :
En partant du haut vers le bas on nomme les trois mouches de la manière suivante :
1.Sauteuse
2.Mouche intermédiaire
3.Mouche de pointe
Un point particulier doit être accordé à la mise en place des mouches en potence ( sauteuse et intermédiaire) sur le bas de ligne. La fixation se fera à l’aide d’un noeud du chirurgien au quelle on conservera la partie remontant en direction du bas de ligne pour fixer la potence .La longueur des potences sera de 5-10 cm.
Cas particulier : L’emploi de poly-leader permet de se soustraire à la fabrication d’un corps de bas de ligne.On raccordera directement la pointe avec le train de mouche sur le poly leader donc la dégressivité assurera la même fonction que le corps du bas de ligne.La pointe sera là encore en 15/100
IV. Les mouches : montage de base et le choix des mouches:
Voilà peut être une des raisons qui ont amener la pêche en noyée vers le déclin : le peu de complexité de la majorité des mouches qui existent et pourtant comment ne pas faire référence aux fameuses wet flies anglaises.
4.1 Le montage :
De manière très simplifié on dira qu’il existe 4 façon pour réaliser les mouches noyées que l’on trouve habituellement :
– le montage type araignées à hackle rabattu
– le montage type espagnol
– le montage faux espagnol
– le montage à ailes type anglais
Le montage type araignées à hackle rabattu : ce sont des montages que l’on réalise avec un hackle mou type perdrix ( mouche spider) ou hackle raide type coq. Après avoir réalisé un corps , on monte un hackle sur l’hameçon que l’on tourne et que l’on incline vers la courbure de celui-ci.
Le montage faux espagnol : Ce montage est une combinaison des deux précédents , le hackle est tourné sur l’hameçon après avoir réalisé un corps puis il est incliné et rabattus sur le haut de l’hameçon de manière à obtenir un mouche qui sera très ressemblante à une mouche type espagnol
Le montage à ailes type anglais : Véritable leçon de montage , ces mouches incorporent l’ensemble des technique précédente plus l’adjonction d’aile ou de tag.Peu employé en France pour la pêche de la truite , elle sont par contre le montage de base des mouches à saumon
Nb : La majorité des corps des mouches noyées seront réalisés en laine ou en fil coton . Le montage type espagnol privilégiera les corps vernis.
4.2 le choix des mouches :
La position des mouches sur la pointe sera un élément indispensable pour guider le pêcheur dans le choix des mouches . Comme on l’a vu précédemment il existe trois positions possible
– la mouche de pointe
– la mouche intermédiaire
– la mouche sauteuse
La mouche de pointe : Souvent de ton neutre ( noir , olive foncé ) cette mouche évoluera le plus profondément , elle sera la mouche qui permettra l’alignement du train . Elle sera aussi très souvent plombé .Les montages de type espagnol colle très bien à la réalisation de cette mouche
La mouche intermédiaire : Mouche évoluant sous 40 à 60 cm de la surface , elle sera souvent d’un ton plus claire à la pointe . On rencontre malgré tout des mouches de couleur noir à cette position mais les tons généralement rencontrés seront olive clair , brun clair , jaune. Le montage type hackle rabattu convient bien à la réalisation de cette mouche.
La mouche sauteuse : De ton claire voire parfois un peu agressif : jaune , orange , c’est une mouche qui évoluera dans la pellicule (2-5 cm). Les montages type hackle rabattu conviennent le plus souvent à la réalisation de cette mouche , il faudra malgré tout faire attention de ne pas rabattre trop le hackle , une position presque verticale est idéal.
4.3 Données complémentaires :
De manière générale le train parfait se compose donc d’une mouche de pointe très sombre , une intermédiaire jaune sale ou olive et enfin une sauteuse très claire . Malgré tout il faut admettre des exceptions : la palaretta mouche jaune et pourtant de pointe . On pourra aussi au niveau de la mouche de pointe la remplacer par une nymphe type casque d’or ou même des mouches plus élaborés de type anglaise : ex l’alexandra
Autre point : pour les parties calmes on associera les mouches à hackle souple et pour les parties rapides les mouches à hackle raide .
Il est possible avec l’adjonction de poly leaders de modifier la profondeur d’action du train ( période de début de saison , eaux fortes) malgré tout le contrôle de l’ensemble s’avérera plus complexe.
Enfin si vous avez des doutes sur le choix des mouches , je vous encourage vivement à trouver un ancien des lieux qui connaît la noyée ou la pêche à la buldo , essayer ces mouches est le début de la réussite
V . La pratique de la mouche noyée:
Avant de parler de l’action de pêche , je pense qu’il est nécessaire de s’attarder sur la pratique d’un geste essentiel à cette méthode de pêche : le mending
5.1 le mending :
Le mending peut être considérer comme le fait de repositionner la soie lors de la dérive pour permettre l’alignement du train de mouche dans l’axe former entre le pêcheur et la positon des mouche . C’est un geste essentiel dans la pratique en noyée car il permet de rester en contact permanent avec les mouches et donc de mieux ressentir les touches
Le pêcheur lance sons train de mouche en une position 1 pour permettre le passage des mouches à la bonne hauteur au niveau du poste rechercher ( phase 1). Le courant forme un ventre dans la soie ne permettant pas de ressentir de manière correcte le passage des mouches ( phase 2). Donc pour pallier à cette inconvénient le pêcheur à l’aide d’une coup de poignet assez ample repositionne la soie dans l’axe du train de mouche et retrouve un alignement correcte lui conférera une bonne présentation de son train de mouche .
5.2 la pratique aval :
En premier lieu ( phase 1) le pêcheur se positionnera en regardant l’aval et lancera le train en direction de la berge opposé en marquant un angle qui sera plus ou moins grand selon la profondeur et la vitesse du courant ( phase 2 ) .Sitôt cela après quelques mètres il reprendra le contact avec le train de mouche par un mending qui lui permettra de prospecter de manière correcte . Tout au long de la dérive le pêcheur devra à l’aide de mending repositionner sa soie et accompagner la dérive de celle ci avec la canne ( qui doit rester en axe avec la soie ) .L’approche d’obstacle et autre poste intéressant conduira souvent le pêcheur à pratiquer une animation des mouches pour les rendre plus attractive ( phase 4 ) .Enfin la fin de dérive se conclura par une ou plusieurs tirée sur la soie avant de relancer l’ensemble.Le pécheur prospectera ainsi en avançant d’ un ou deux pas à chaque lancer lui permettant de couvrir l’ensemble de la zone à pêcher .
Un point particulier résidera dans l’animation , tout l’art de cette pêche consiste à savoir faire passer un train de mouche entre des obstacles et surtout de bien prèsenter..L’approche de ces obstacles amènera souvent le pêcheur à relever puis redescendre la canne pour passer successivement sur les cotés et le devant de celui ci . Une autre technique permettra de passer sous l’obstacle il suffira pour ceci de relever la canne à l’approche de celui ci et d’un seul coup de redescendre la canne provoquant un mou qui entraînera les mouches plus en profondeur .
Remarque
– Une astuce de pêche : lors de la recherche des ombres il est très efficace de caler son train de mouche quelque instant dans un couloir d’eau , l’immobilité de celui ballotter dans la veine de courant est souvent gage de réussite.
– Une parade : lors de gobage ou les poissons sont difficiles à prendre , monter une noyée seule est parfois d’une efficacité redoutable.
– Un instant magique : Au coup du soir ; lorsque la nuit tombe monter un sedge sur votre pointe et présenter le comme une noyée.C’est véritablement la porte ouverte aux grandes émotions
– Une technique d’apprentissage : Il est une astuce d’entraînement qui consiste à solliciter un collègue . Sur portion à l’eau claire vous montez un train de mouches et votre collègue vous indique au fur et à mesure de la dérive ou se situe les mouches .
5.3 la pratique amont :
Peu souvent pratiquer il existe malgré tout une technique de pêche par l’amont que l’on rencontre souvent dans des cours d’eaux aux eaux très rapides ou très claires ( l’arrivée par l’amont devient là très compliqué).Il s’agit de sortir 7/8 m de soie avec le bas de ligne et un train ayant au plus 2 mouches , on lance pleine amont canne basse et l’on accompagne la dérive en relevant la canne permettant de rester en contact avec les mouches. Cette technique est très proche de la pêche en sèche en eaux rapides
5.4 la pratique en réservoir :
La pratique de la pêche en noyée en réservoir est identique à l’ensemble des pêches fines employées en ces lieux . Elle ne se différencie pas dans la pratique de la pêche au chironome par exemple.Sa spécificité ne résulte que du modèle de mouche employé : les mouches noyées.L’animation de ce type de train pourra être confronté à l’ensemble des animations de réservoir : tirée lente , stripping , tricotage , etc.
Une vidéo autour de la pêche en noyée en Réservoir
VI Conclusion :
La pêche à la mouche noyée est une technique très subtil qui nécessite un sens de l’eau assez développé et surtout un variabilité passionnante.Elle saura ravir le pêcheur en mal de sensation , la fameuse tape du poisson sur un train reste une émotion rare.En somme une technique à découvrir ou à redécouvrir
Pour aller plus loin -Sur le net
http://www.pechetruite.com/techniques-peche/technique-mouche-noyee.htm
http://www.gobages.com/peche/peche_mouche_noyee.php
http://mouches.free.fr/pagesfr/articles/mouchenoyee.htm
Un ouvrage de reference :Pêche moderne de la truite de rivière à la mouche noyée deJean Louis Pelletier
N’hésiter pas la noyée est une pêche moderne et tactile , riche en émotion .
la pêche en noyée se montre trés suptil et necessite surtout d’acquerir une parfaite connaissance des rivieres
Bravo pour l’article sur la pêche à la noyée, cela fait 30 ans que je pêche en rivière de cette façon en générale, car selon les cas de figure j’utilise toutes les façons possible de pêcher à la mouche.Mais je tenais à féliciter l’auteur, car il devient très rare, surtout en matière de pêche à la noyée de trouver des articles crédibles, et c’est bien dommage pour les débutants qui risquent d’être mal aiguillés, et du faite certainement déçus du résultat.On trouve trop souvent à mon gout, des conseils donnés par des gens n’ayant même pas essayé cette technique, mais ayant glané ici et là quelques renseignements même pas vérifiés, ce qui n’est pas le cas ici, et je recommande vivement cet article au néophyte, tout y est bien décrit simplement mais correctement, il n’en faut pas plus. Essayez cette pêche vous n’en serez pas déçu, si vous la pratiquez correctement elle vous donnera entière satisfaction, cette pêche n’est pas aussi simple que certain la décrive, mais à force d’obstination, vous progresserez très vite, et très vite vous deviendrez accro, en tout cas c’est tout le mal que je vous souhaite.
Bonjour
Je commencerai par vous remercier de cette article et vous rejoindrai trés largement sur la beauté de la pêche en noyée.Issus d’une culture de pêche down stream car trés jeune baigné à l’atmosphere de la pêche au saumon , je dois l’avouer la pêche en noyée s’est imposé pour moi comme une evidence il y a deja bien longtemps et je me retrouverai bien volontiers dans vos regrets à voir cette pêche oublié….
entièrement d’accord avec votre commentaire ; enfin quelqu’un qui sait
Bonjour,
Bravo pour votre site avec de belles images.
J’ai 66 ans et la lubie d’essayer la pêche à la mouche vient de me prendre, j’ai pêché au toc durant une quinzaine d’années; mais depuis 1985 j’ai tout arrêté!
Je me suis équipé dans le bas de gamme: une 9’soie de 5, moulinet Path 4/5/6 le tout de chez Redington. Ce matin je suis allé au pré essayer de faire quelques lancés, petit problème avec mon bas de ligne qui se met en paquet. Que me conseillez-vous pour remédier au problème?
Cordialement
roland
Bonjour
Il est probable que cela vienne d’une mauvaise maitrise de la gestuelle.Plusieurs conseils..Gratuitement vous pourrez trouver quelques supports sur le net pour ameliorer cela ou aller à la rencontre d’un club…Une autre solution peut etre le recours à un guide de pêche qui pourra vous faire gagner bcp de temps d’apprentissage
+++steph
Bonsoir,
Merci Steph.C pour m’avoir répondu;
roland
salut à tous.
Moussac si tu habites dans les Vosges, ça serait avec plaisir que je te guiderais dans tes débuts, tiens moi au courant. Sinon ce que dit Steph.C est de bon conseil, avec un bon prof en moins d’une matinée tu auras appris les bases du lancer, à toi ensuite de persévérer (c’est en forgeant que l’on devient forgeron).
Merci également pour cet article clair et remettant à sa vraie place cette technique, j’ai eu l’occasion il y a pas mal d’annees de faire la connaissance de »vielles » mains telles que jean louis Pelletier et serge Pestel du » coin de pêche » magasin aujourd’hui disparu mais surtout au sein du club TOS (TRUITE OMBRE SAUMON) Et ces vielles mains nous apprenaient le dimanche matin non seulement à lancer puis poser correctement une maouche soit au ois de Boulogne soit à celui de Vinennes! Quelle époque! Tout cela pour dire que le mieux c’est d’apprendre auprès de quelqu’un de déjà expert fait gagner u temps énorme et évite au novive de se dégouter trop vite et de se détourner d’un sport, oui j’ai dis sport!tellement passionnant. Alors oui vive la pêche à la mouche noyée, sêche dès que possible et nymphes pour les adeptes (moi elle ne m’amuse pas) et si vous »tombez » sur le bouquin de jl Pelletier offrez le vous il est parfait, autre suggestion » la réhabilitation de la mouche noyée » de Léonce de Boisset vous ne serez pas déçus! À part son prix…
Bonsoir, en petite et moyenne rivière est-i possible d’utiliser une canne courte?( 7.6 pieds soie 3/4 qui me sert pour la sèche)
Bonjour
Oui en petite riviere vous pourrez utiliser ce genre de canne.La faible longueur etant surtout un handicap pour soutenir la derive et dans la realisation des mendings.
+++steph
merci beaucoup pour votre réponse!.
Merci Pour cet article je suis heureux de voir des personnes ayant envies de partager leurs expériences et leurs passions. Vous m’avez convaincu.
Je vais rapidement équiper ma boîte a mouche de quelques noyées,et essayer de mettre en pratique vos précieux conseils
j ai bien aimé votre article sur la mouche noyé que je pratique regulierement,et si des personnes sont interressés il existe des ouvrages anciens sur le sujet dont certain du regretté Jean louis Pelletier qui etait un virtuose de la mouche noyé
Article très intéressant mais, par pitié, prenez soin de corriger les « zénormes fotes d’haurtografe »
Pêcheur en sêche depuis longtemps, j’ai toujours considéré que c’était la seule vrai pratique de la pêche a la mouche, mais depuis deux ans , avec des marnages exessifs dus aux grans barrages, la dordogne a manqué de jours de » gobages » , et du coup le poisson se nourrissant sous la couche d’eau , je me suis mis a la noyée, c’est devenu une passion , tant j’ai ressenti de nouvelles sensations .
Cette pratique contrairement aux idées reçues demande une grande attention pour maitriser une bonne dérive et parcourir correctement tous les postes.
Mais quel succés , on prend en noyée beaucoup de poissons et fini les jours » sans » ……
» zut » pour les fautes, mais j’ai des gros doigts pour mon ipad, et de petits yeux 😉
Bonjour
Pas bien grave pour les fautes et je vous remercie pour vos commentaires
vous êtes pour des noyées montées avec bille (tungtène ou laiton ) ou preférez-vous des noyées trés peu lestées?
Bonjour
Je peche le plus souvent avec des noyées trés simple sans billes…preferant jouer avec la densité des soies pour atteindre la bonne profondeur
Halieutiquement
Stephane
Bonsoir, merci pour votre article , très intéressant,j’ai jusqu’à présent beaucoup péché en noyée , mais uniquement aux saumons.Votre article me donne très envie de pratiquer cette pèche , mais ou sont passées nos belles truites d’ autrefois ?… Je suis un passionné de pèche en sèche , mais la aussi ?…donc à essayer; pouvez vous m’aiguiller pour ce type de pèche en début de saison merci.
Bonsoir,
En effet votre article me semble excellent ; j’ai pris goût à la noyée après avoir commencé à pêcher le saumon..; – et avec une switch de 11ft. Pourriez vous svp préciser votre conseil de montage avec polyleader. : ensuite dégressif ou non? et quel diamètres en début de saison.
merci encore
Cordialement
Gérard
Bonjour
Pour ma part je pêche depuis longtemps avec un canne à une main et depuis cette année comme vous j’ai choisi de franchir le pas vers le switch.Question polyleader je fais un raccord boucle boucle et le bas de ligne par la suite se reduit à une formule simple ….une longueur de 18/100 sur lequel j’intègre une première potence avec une mouche et aprés une longueur de 16/100 ou je positionne une deuxieme potente…en moyenne 50/50/50cm.
Voilà
+++steph
combien de mouches autorisées 2 ou 3, plusieurs avis différents, je n’arrive pas à avoir la réponse sur le site de la Fédé ?
Bonjour,
La saison du réservoir approchant je viens de revisionner avec plaisir votre vidéo, très pédagogique et instructive, merci.
J’ai une question concernant le seat box, j’envisage l’achat d’un modèle similaire mais n’étant que très peu bricoleur je me demandais avec quoi vous aviez fait l’accroche-mouche à l’intérieur du couvercle ??
En vous remerciant par avance pour votre réponse et au plaisir de lire vos prochains articles.
Romain
bonjour
c’est une plaque de mousse autocollante
++steph
Bonjour,
Article très intéressant. Merci!
Vous indiquer que vous utilisez un bas de ligne de 380 cm avec une pointe de 150 cm (décrite). Pourriez-vous donner la formule des 230 cm de votre corps de ligne ?
Merci par avance 🙂